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Lettre d'information de Pénombre

association française régie par la loi du 1er juillet 1901

Juin 2005– numéro 40[Table des matières]

 

LE BRUT DE PENOMBRE

Bruno Péquignot nous adresse un article du Tarn Libre du 01/01/2005 avec ce titre : « Démographie castraise. Une baisse des mariages de 54 % ». Quelques extraits :

« Pour l’année écoulée 146 mariages ont été enregistrés contre 200 en 2003, soit une baisse de 54 % [sic] (…)
« Au niveau des naissances, la tendance est à la baisse. Même si celle-ci est sans commune mesure avec le déclin des mariages, il n’en demeure pas moins vrai que l’année 2004 n’a pas été exceptionnelle. 1 485 nouveaux-nés ont été enregistrés au cours de cette période... En 2003, le nombre des naissances s’est élevé à 1 495. (…)
« Les décès enregistrés sur la commune ont également diminué de 3,49 %. Pour l’année écoulée, 622 ont été enregistrés alors que l’année précédente, à la même époque, ils s’élevaient à 686. Cette baisse peut-être le signe de la qualité de vie dans l’agglomération castraise et d’une meilleure prise en charge des personnes âgées. Notre territoire semble favoriser l’essor de nombreux centenaires. »

Louis Schweitzer, président de Renault, lors du lancement de la Modus, le 1er septembre 2004 :

« Les cols bleus représentent quelque 300 euros par rapport au coût de la fabrication d’une voiture  (…). La remontée du temps de travail ne change pas l’équation de base. »

Le vendredi 18 mars 2005, alors qu’un premier sondage donnait le non en tête pour le référendum de fin mai sur la Constitution européenne (51 %), l’édition électronique du Monde (www.lemonde.fr) publiait dans sa check-list quotidienne un « papier de verre » d’Hervé Le Tellier :

«  Le non serait majoritaire. Méfions-nous : 43 % des sondages sont erronés car 25 % des sondés mentent. C’est pourquoi 59 % des Français ne leur font pas confiance ». On dirait du Pénombre.

Dans La Vie n° 3114, semaine du 4 mai 2005, on lit :

« 77 % des Français avouent être gênés par le bruit au travail. Ils sont encore plus nombreux en région parisienne (75 %) et chez les ouvriers (74 %). »