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Chers Pénombriens, et non pénombriliens

Chers Pénombriens, et non pénombriliens

Je suis persuadé comme le Comte de Chamfort que « la plus perdue de toutes les journées est celle où l’on n’a pas ri ». Ce 24 septembre 1996, jour de réception du numéro d’août 1996 de votre revue ne pouvait donc être qu’une journée réussie ; ce qui fut bien le cas puisque le sérieux de vos articles le dispute toujours à l’humour. D’autres écrits me permettent aussi d’associer sérieux et rire et je ne résiste pas au plaisir de vous faire réussir une journée en vous citant la légende d’un tableau publié dans le Courrier de la Chancellerie de juillet 1996 : « Le budget : en pourcentage de son budget, la justice consacre à l’informatique davantage de moyens que la plupart des autres ministères civils. Mais cet effort n’a pas été exempt du souci de ménager la dépense publique. La diminution des dépenses informatiques est ainsi, non le signe d’une réduction de l’effort, mais celui de la recherche d’une meilleure gestion des ressources ». Il s’agissait bien sûr d’expliquer que la diminution de crédits informatiques n’en était pas véritablement une. À bon informaticien salut.
Cordialement.
pelissie@club-internet.fr (Teddy Pelissier)

Pierre Pélissier

 
Pénombre, Novembre 1996